Une pyramide construite en 650 a été retrouvée en juin dernier sur un chantier d’extension de l’autoroute de l’état d’Hidalgo, au Mexique. Les premières recherches indiquent qu’elle a été érigée par la seigneurie de Metztitlan.
Il y aura un peu de retard sur le chantier. Alors qu’ils étaient en train de construire une nouvelle voie sur l’autoroute de Pachuca-Huejutla, près de l’état d’Hidalgo, au Mexique, les ouvriers ont découvert les traces d’une pyramide bâtie il y a près de 1 375 ans, rapporte Popular Science.
Le 5 décembre, le ministre de la Culture mexicain et l’Institut national d’anthropologie et d’histoire (INAH) ont publié un communiqué dans lequel ils révèlent les étapes de cette découverte exceptionnelle. Les ouvriers de la voirie ont alerté les autorités en juin qu’ils étaient tombés sur quelque chose d’étrange. Des archéologues ont immédiatement pris possession du chantier, qui a dû être suspendu. Ils ont alors exhumé des portions d’une pyramide, composée d’au moins dix piles. Cent cinquante-cinq artefacts, en pierre, en coquillage ou en céramique, ont également été collectés.
Il y aura un peu de retard sur le chantier. Alors qu’ils étaient en train de construire une nouvelle voie sur l’autoroute de Pachuca-Huejutla, près de l’état d’Hidalgo, au Mexique, les ouvriers ont découvert les traces d’une pyramide bâtie il y a près de 1 375 ans, rapporte Popular Science.
Le 5 décembre, le ministre de la Culture mexicain et l’Institut national d’anthropologie et d’histoire (INAH) ont publié un communiqué dans lequel ils révèlent les étapes de cette découverte exceptionnelle. Les ouvriers de la voirie ont alerté les autorités en juin qu’ils étaient tombés sur quelque chose d’étrange. Des archéologues ont immédiatement pris possession du chantier, qui a dû être suspendu. Ils ont alors exhumé des portions d’une pyramide, composée d’au moins dix piles. Cent cinquante-cinq artefacts, en pierre, en coquillage ou en céramique, ont également été collectés.
Le média Archaeology News souligne également que les recherches sur site n’auront plus lieu avant un moment à cause de coupes budgétaires drastiques à l’INAH. L’institut va perdre 45% de ses subventions en 2025, ce qui n’augure rien de bon pour les recherches et autres excavations.